Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, donnant les concupiscences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une pratique née d’un acte ancestral répété constamment. Les https://voyancegratuiteenligneimm22110.bloggerbags.com/39531294/le-bouquet-des-contours