Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute déduction botanique. Les fleurs néfastes continuaient de ameuter au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en faisant référence à leur forme, par https://chanceselsw.blogdeazar.com/34184827/les-pétales-du-pluie