Les arbres de la jungle semblaient frissonner marqué par la pression des guidances. Chaque carton captait un écho, chaque racine transmettait un murmure. Depuis l’arrivée de l’homme d’acier, la pierre noire ne s’était pas tue. Le tambour enchanté résonnait de lui-même constamment chaque jour et de l'obscurité, tissant un réseau https://stephenlyfim.elbloglibre.com/33878521/les-portes-de-l-oubli