Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du surnom d’Orhan découvrit un objet particulier parmi ses innovantes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en propos, noyer et délicatement ciselé, orné de symboles indéchiffrables qui semblaient danser marqué par la clarté des lampes à huile. Aucun souvenir de https://fernandonakta.theisblog.com/34072079/le-coffret-aux-songes-volés