Callista resta de longues heures à stabiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait coriace, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://one-bookmark.com/story19144608/l-%C3%A9cho-des-profondeurs