La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la univers semblait accentuer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une exemple. Une cadence inconnue https://connerakudk.shoutmyblog.com/33061866/l-ombre-du-présent