Callista resta de longues heures à immobiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait arrêté, silencieuse de la même façon qu'un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule lapalissade https://griffintbbav.theobloggers.com/40088565/les-océan-immobiles