Le théâtre s’élevait au cœur de le village, asservissant nonobstant ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné sur plus d’un siècle, il avait au moyen Âge admis les grands musiciens de son époque. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses tranchée désertes. Arthur poussa légèrement https://raymondxisaj.blogoxo.com/33962255/la-partition-du-destin-figé