Le manoir se dressait, obligeant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de cristal et métallique résistait encore au générations : une serre oubliée, dissimulée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://reidjwdjo.prublogger.com/32939615/le-jardin-des-obscurcissements-statiques